Bio Vincent Battesti
ORCID : 0000-0002-5793-1098
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Vincent Battesti fut longtemps chercheur hors-statut, contractuel, puis attaché temporaire (contractuel, donc) d’enseignement et de recherche au Muséum national d’histoire naturelle à Paris, et aujourd’hui (depuis oct. 2009) chercheur au CNRS (recruté CR1) au sein de l’UMR 7206 Écoanthropologie, au Musée de l’Homme à Paris, du Muséum national d’Histoire naturelle.
Ses recherches en anthropologie se situent principalement en Afrique du Nord (Algérie, Tunisie, Maroc) et au Proche-Orient (Égypte, Yémen, Soudan). Formé en biologie (écologie terrestre), dans le développement et titulaire d’un doctorat en anthropologie sociale de l’Université Paris V/Sorbonne établissant une socioécologie des oasis sahariennes, il a été récemment en poste de 2002 à 2005 au CEDEJ au Caire. Son travail actuel porte d’une part sur une anthropologie de la nature dans l’oasis de Siwa et les jardins égyptiens en général et d’autre part sur l’analyse des espaces publics au Caire et Khartoum, en particulier au prisme des ambiances sonores.
Il a récemment coédité un ouvrage collectif sur l’Égypte contemporaine (2011) aux éditions Actes Sud/Sindbad et un numéro de la Revue d’ethnoécologie sur le Le Palmier dattier : Origine et culture en Égypte et au Moyen-Orient (2013/2014).
Il partage son temps entre Paris et ses terrains (Égypte, Arabie saoudite, etc.), et pendant six ans aussi New York (où il était Visiting Scholar à Columbia University (Department of Anthropology) (et auparavant au Hagop Kevorkian Center for Near Eastern Studies, NYU, New York University) et Le Caire.
La personne sur la gauche de la photographie ci-dessous est le sheikh de l’oasis de al-Garat, près de Siwa. [L’ancien sheikh, en fait, puisqu’il est décédé il y a peu. C’était le sheikh Hasan, d’une remarquable hospitalité.]