Prendre des photos est une activité de plus en plus répandue.
Tout le monde en prend, avec un bel appareil dédié ou avec son smartphone.
J’en prends, beaucoup, sur mes terrains d’enquête, j’en prends ailleurs également, un peu partout.
Ce que l’on fait de ses photos est encore autre chose. Dans mon cas, je les garde sur mon ordinateur, j’en montre quelques-unes à des amis, et j’essaie au maximum de les utiliser dans mes publications [1] , sans qu’elles ne soient jamais devenues — à tord ou à raison — une publication en soi. Peut-être parce que le reportage photo est d’abord un reportage et non pas une enquête ethnographique ?
Voilà un test.
L’occasion : la fête de Ganesh qui eut lieu à Paris le 28 août 2016. Le défilé dans les rues de Paris a commencé à 11h du matin et s’est achevé à 3h de l’après-midi.
Je connais le quartier, mais je ne connais rien à cette fête religieuse ni à la population/aux populations qui y participent.
Des photos brut de commentaires.
[1] Voir cet article-ci ou d’autres articles-là au hasard…