par Vincent Battesti

 11 octobre 2005. Liban (Beyrouth).
Petit tour chez un pépiniériste. Bouh, c’est cher ! Il y en a sans doute d’autres pépiniéristes plus abordables, mais c’est visiblement réservé aux plus fortunés. Disons aussi que le niveau de vie libanais n’est pas celui égyptien, ni même syrien : on y est visiblement plus à l’aise. Je passe ma journée à me perdre en voiture dans Beyrouth, Monoprix de Achrafieh (impressionnant, les mêmes magasins qu’en France), Virgin Megastore dans le quartier Solidere (le nouveau Centre-ville d’Hariri), une galerie d’art (introuvable) dans Hamra…

Il aurait fallu que je fasse des photos de ce nouveau centre-ville, et aussi de son cinéma, relique de la guerre, criblé de balles au point d’être littéralement éventré, place des Martyres, le mausolée provisoire sous tente de R. Hariri, avec des tonnes de gerbes de fleurs… Une prochaine fois. L’actualité, toujours l’actualité, visible, affichée, partout.
Demain, je bouge un peu plus loin, promis.

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