Reappraising the Mediterranean hotspot [temp. title]
qu’on peut traduire par : « Réévaluer le hotspot méditerranéen [titre temp.] »
Jan Perret, Océane Cobelli, Adrien Taudière, Julien Andrieu, Yildiz Aumeeruddy-Thomas, Jean-Michel Bellanger, Jamila Bensouissi, Guillaume Besnard, Gabriele Casazza, Pierre-André Crochet, Thibaud Decaëns, Françoise Denis, Philippe Geniez, Michael Loizides, Frédéric Médail, Vanina Pasqualini, Claudia Speciale, Vincent Battesti, Pierre Chevaldonné, Christophe Lejeusne, Franck Richard.
soumis à la revue Conservation Letters (une revue publiée par la Society for Conservation Biology).
Résumé de l’article :
Il y a deux décennies, 34 points chauds de la biodiversité mondiale ont été déterminés à partir de la répartition des plantes et des vertébrés continentaux, propulsant le bassin méditerranéen parmi les endroits les plus « chauds » pour les enjeux de conservation.
En utilisant le hotspot du bassin méditerranéen comme un cas d’étude, nous compilons ici le spectre taxonomique et les motifs géographiques des séquences d’ADN publiques et leurs métadonnées associées, ainsi que les recherches publiées sur la Méditerranée pour 1/ caractériser la dynamique temporelle de l’acquisition de données moléculaires et la production scientifique liée aux lignées incluses dans la définition du hotspot par rapport aux groupes orphelins d’invertébrés, de champignons et du biote marin ; 2/ dévoiler la géographie des efforts de recherche sur la biodiversité et du corpus taxonomique à base moléculaire disponible qui sous-tend le hotspot méditerranéen.
- On the Mediterranean island of Corsica, Lotu beach, in Santo-Pietro-di-Tenda (France), July 21st 2016, Vincent Battesti